lundi 25 août 2014

Le Psaume 137

Par Zack Lieberberg

Sur les bords des fleuves de Babylone, nous étions assis et nous pleurions, en nous souvenant de Sion. Aux saules de la contrée nous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous demandaient des chants, et nos oppresseurs de la joie : « Chantez-nous quelques-uns des cantiques de Sion ! »

Comment chanterions-nous les cantiques de l’Éternel sur une terre étrangère ? Si je t’oublie, Jérusalem, que ma droite m’oublie ! Que ma langue s’attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne fais de Jérusalem le principal sujet de ma joie !

Éternel, souviens-toi des enfants d’Édom, qui, dans la journée de Jérusalem, disaient :
« Rasez, rasez jusqu’à ses fondements ! » Fille de Babylone, la dévastée, heureux qui te rend la pareille, le mal que tu nous as fait ! Heureux qui saisit tes enfants, et les écrase sur le roc !

Il y a longtemps, jeune homme sorti depuis peu de l’université de Moscou, j’étais allé vivre quelques années à Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan qui était à l’époque une des quinze républiques soviétiques. Je n’y ai pas vécu les années les plus agréables de mon existence, mais cela m’a permis d’avoir une expérience directe de la vie parmi les musulmans et d’acquérir des bases pour les comprendre et pour déchiffrer leurs frustrations et leurs rêves. Le plus souvent, ce sont des circonstances apparemment banales et isolées qui m’ont apporté ces éléments de compréhension.

Il y a eu par exemple ce matin d’été avant l’aube où, pour je ne sais plus quelle raison, je devais me rendre quelque part avec un ami. Je l’attendais près du guichet de la compagnie Aeroflot où il devait passer me prendre. Il était en retard. J’avais sommeil et j’étais fatigué. Les rues étaient vides, à l’exception d’un petit groupe d’hommes qui formaient un cercle resserré au bout du pâté de maisons. À en juger par leurs habits et par les sacs lourds qu’ils portaient, c’étaient des paysans azéris qui se rendaient au marché. Ils observaient quelque chose à leurs pieds, à l’intérieur du cercle. On aurait dit des badauds contemplant la victime d’un accident mortel avant que les autorités ne viennent chercher le corps.

Or, il n’y avait eu aucun accident. J’ai décidé de m’approcher pour jeter un coup d’œil. Le groupe n’a pas fait attention à moi. Ils étaient tous complètement absorbés par le spectacle qui se déroulait sur le trottoir, juste sous leurs yeux. Ils observaient dans un silence recueilli. Leurs visages rudes de paysans, solennels, semblaient briller d’une lumière intérieure comme celle que l’on peut quelquefois percevoir sur le visage d’un homme plongé dans la lecture d’un de ses livres préférés. Il sait ce qui va arriver, mais cette connaissance ne diminue pas son plaisir. N’ayant jamais assisté à une exécution, j’imagine qu’on doit y retrouver un peu le même genre d’expression sur les visages : le mélange subtil d’une tristesse de circonstance, d’une répulsion physique face à certains détails inévitables, et par-dessus tout, d’un sentiment profond de justice.

À l’intérieur du cercle, tout en regardant avec nervosité les spectateurs immobiles et silencieux, deux chiens errants étaient en train de s’accoupler à la va-vite.

Lorsque les deux chiens se sont finalement dégagés l’un de l’autre et se sont séparés, les paysans sont restés encore un moment sans bouger, contemplant la scène de l’événement, désormais vide, toujours cois, la lumière s’estompant progressivement de leurs visages non rasés. Finalement, l’un d’entre eux s’est écarté, et le groupe entier est revenu à la vie. Sans un mot, ils ont échangé leurs regards, et le degré de compréhension mutuelle que j’y ai perçu ne pouvait être que le résultat d’une intimité partagée. Enfin, eux aussi ont commencé à s’écarter les uns des autres, et pendant une fraction de seconde, le groupe en cours de désintégration m’a paru aussi théâtral que les Bourgeois de Calais de Rodin.

Je me suis souvenu de cette anecdote tout à fait sans importance le jour où j’ai contemplé la photo d’un groupe de musulmans en train de brûler un drapeau danois. Ils semblaient tout aussi immobiles et aussi solennellement satisfaits que ces paysans azéris. La ressemblance n’était pas fortuite. Dans les deux cas, des musulmans, cruellement privés de la chose réelle, se sont consolés avec le premier substitut qu’ils ont trouvé.

Les paysans azéris, conformément aux lois et aux traditions islamiques, étaient privés d’une vie sexuelle normale à un point tel que je ne pense pas qu’ils aient su qu’une telle chose existait. Tout ce que nous considérons comme normal en matière de sexualité constitue pour les musulmans la forme la plus extrême de dépravation ; de notre côté, en toute sérénité, nous désapprouvons leurs pratiques zoophiles et pédophiles.

Les brûleurs de drapeaux, pour leur part, se trouvaient privés par de cruelles circonstances de la possibilité immédiate de se purifier les mains dans le sang de l’infidèle, ce qui constitue, selon ces mêmes lois et coutumes islamiques, à la fois leur droit et leur devoir les plus sacrés. Dans les deux cas, le substitut était précieux et en même temps insuffisant.

La principale différence entre ces deux groupes est que les paysans azéris ne pourront jamais réaliser entièrement leurs rêves, quels qu’ils soient. Au contraire, les brûleurs de drapeaux ont de bonnes chances de réaliser les leurs.

Les médias rendent compte du dernier accès de rage des musulmans avec plus d’empathie encore que celle dont ils ont fait preuve quand ils ont relaté les récentes émeutes musulmanes en France. D’après le New York Times, ces émeutes avaient pour origine l’incapacité de la France à intégrer ses immigrés.

Étant moi-même un immigré, je suis bien placé pour aborder ce sujet. Je suis entré dans le pays de mon choix, les États-Unis d’Amérique, sans y avoir été invité. Je serai éternellement reconnaissant à l’Amérique de m’avoir laissé venir, de m’avoir permis de rester et de m’avoir traité en égal selon ses lois. Je me suis intégré moi-même jusqu’à m’y sentir bien, ni plus ni moins. Je n’ai jamais attendu de l’Amérique qu’elle m’intègre. Qui plus est, je n’irais jamais vivre dans un pays qui ferait un effort pour m’intégrer. L’Union Soviétique n’a jamais cessé d’essayer de m’intégrer durant les trente-quatre premières années de ma vie, et elle n’a pas réussi.

Certains de mes amis sont eux-mêmes des immigrés. Leur degré d’intégration varie, et certains d’entre eux sont bien moins intégrés que moi. Je connais une dame originaire de Chine qui vit dans ce pays depuis vingt ans. Un jour, je l’ai invitée à déjeuner dans un restaurant italien. Même les plats les plus courants lui étaient inconnus. Elle croyait que le mot Pizza était le nom d’une chaîne de magasins, comme Te Amo. Elle a été étonnée de s’apercevoir qu’une partie de cette nourriture étrangère était réellement savoureuse. Elle était incroyablement peu intégrée, ce qui lui occasionnait de graves problèmes. Pour autant, je peux garantir qu’en aucune circonstance elle n’aurait envisagé de résoudre ses problèmes en brûlant une voiture. Elle n’était pas musulmane.

Le prétexte que les musulmans ont invoqué cette fois-ci semble presque raisonnable par comparaison. Combien de fois avez-vous entendu dire qu’ils considéraient toute image de Mahomet comme une insulte envers leur religion ? Vous voulez que je vous dise ? Ce n’est là encore qu’un mensonge islamique de plus.

Sur mon bureau, j’ai un livre d’Andrew Bostom intitulé The Legacy of Jihad. L’illustration qui orne la couverture représente le massacre des Juifs de Médine. Ce massacre est surveillé par le faux prophète en personne, accompagné (si je ne me trompe) de son cousin Ali et de leurs épouses sans visage. Inutile d’être un expert en œuvres d’art pour se rendre compte qu’il s’agit de l’œuvre d’un artiste musulman. Produite au XIXe siècle, elle trahit l’ignorance totale, de la part de son auteur, des lois de la perspective et autres techniques fondamentales utilisées par les artistes européens depuis des siècles. Dans cette peinture, les flammes ressemblent à une sorte de cactus en contreplaqué, et il faut faire un sacré effort d’imagination pour comprendre lesquelles des victimes sont déjà terrassées et lesquelles sont encore debout.

En résumé, ce chef-d’œuvre islamique reste loin du niveau de perfection atteint par les artistes de Cro-Magnon quelque 30 000 ans plus tôt. Il n’en représente pas moins, même avec un tel simplisme, le témoignage d’un des nombreux épisodes génocidaires dont toute l’histoire de l’islam est constituée et de la soif de sang génocidaire qui en est l’essence même. Je n’ai jamais entendu dire que les musulmans trouvaient à redire à cette représentation, même si leur führer bien-aimé, quand on l’observe avec attention, semble être gravement constipé.

De façon générale, je crois que les gens – que ce soit individuellement ou collectivement – ne méritent jamais un respect plus grand que celui qu’ils montrent pour autrui. Quand, pour la dernière fois, des musulmans pratiquants ont-ils montré le moindre respect pour quoi que ce soit ou pour quiconque en dehors de leur culte de la mort ? La réponse, c’est : jamais. Mais finalement, cette question est elle-même problématique, sachant que dans le monde musulman, respect est synonyme de peur et de soumission. Elle devient plus problématique encore si l’on se souvient que chaque centimètre carré du soi-disant monde musulman a été pris par les musulmans à ses propriétaires légitimes en recourant au djihad, cette guerre musulmane de conquête et de génocide qui se poursuit sans interruption depuis quatorze siècles.

Qui a oublié comment, en 2002, des terroristes arabes, pour échapper aux forces de défense israéliennes, se sont barricadés à l’intérieur de l’Église de la Nativité et ont pris en otages les prêtres qui s’y trouvaient ? Ces Arabes n’ont pas hésité à uriner et à déféquer à l’intérieur de l’église. Imaginez la réaction du monde musulman si des « infidèles » avaient fait quelque chose de similaire dans la plus insignifiante mosquée du globe.

Bien que l’Église de la Nativité soit un des lieux saints les plus importants pour la chrétienté, pas un seul musulman n’a protesté contre sa profanation. Quant aux chrétiens, ils n’ont pas exigé d’excuses de la part de ces musulmans, ni de leurs chefs, ni des autorités musulmanes en général. Dans aucun pays chrétien, il n’y a eu de réaction violente anti-musulmane. Au lieu de cela, les chrétiens, conformément à leur tradition deux fois millénaire, ont rendu les Juifs responsables de l’incident. Les Juifs, fidèles comme toujours à leurs propres coutumes, n’ont pas non plus réagi à ce nouvel appel au meurtre par des actes violents à l’encontre des chrétiens.

Cela montre l’importance de l’antisémitisme dans les affaires du monde. Les Juifs sont le bouc émissaire tout trouvé des scélérats. A la majorité de ceux qu’ils prennent pour cible, l’antisémitisme apporte l’agréable illusion que les scélérats s’en prennent à quelqu’un d’autre. C’est cette tactique simple qui permet à notre ennemi commun de nous plumer un par un, et chaque fois que nous perdons l’un des nôtres, nous nous illusionnons nous-mêmes en nous disant qu’ils ne viendront jamais jusqu’à notre porte.

Il est à peu près certain que c’est ce qu’ils feront, tout comme ils sont venus jusqu’à la porte des Danois. La réaction du monde chrétien a été aussi lâche que la réaction des Israéliens aux atrocités arabes sur leur territoire. Prenons le boycott des produits danois, par exemple. Quelle aurait été une réaction appropriée de la part du monde civilisé ? N’importe quelle réaction, pourvu qu’elle ait été significative. Or, pas un seul pays occidental, pas un seul producteur occidental n’a retiré ses produits des circuits de distribution du monde musulman par solidarité avec la position du Danemark en faveur de la liberté d’expression.

Une telle réponse aurait-elle représenté le moindre danger ? Bien sûr que non. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour accomplir la prophétie de Lénine, nous vendons à nos ennemis la corde avec laquelle ils viendront nous pendre.

À l’accusation d’irrespect envers le Coran dans la baie de Guantanamo, quelle aurait été la réaction américaine appropriée ? La confiscation immédiate de tous les exemplaires du Coran des prisonniers. Y avait-il le moindre danger à agir ainsi ? Bien sûr que non. Mais il est bien plus important pour nous de rester politiquement corrects que de gagner la guerre déclenchée contre nous par les musulmans.

La moindre mesure de l’administration Bush contre la terreur fait l’objet d’un examen malveillant, par le biais du soupçon de possibles violations de nos droits constitutionnels et d’érosion de nos libertés. Je vais vous dire ce qui constitue la plus abominable et la plus dangereuse violation de mes droits constitutionnels, ce qui menace mes libertés plus que toute autre chose. C’est l’influence toujours plus grande de l’islam dans ce pays. Est-ce si difficile de comprendre que la  composante la plus importante de la liberté n’est pas mentionnée dans la Déclaration des Droits parce qu’elle est tenue pour évidente, comme l’oxygène dans l’air que nous respirons ? Est-ce si difficile de comprendre que la  composante la plus vitale de la liberté est la sécurité des personnes ?

On ne peut pas être libre quand on n’est pas en sécurité. On ne peut pas être libre dans son propre pays quand la population musulmane augmente. On ne peut pas être en sécurité dans ce monde quand l’islam se répand comme un cancer avec ses métastases et quand les gouvernements occidentaux, y compris le nôtre, au lieu de faire quoi que ce soit pour s’y opposer, concourent à qui fera preuve de la dhimmitude la plus abjecte.

Cependant, il n’y a plus eu d’attaque terroriste à l’intérieur du pays depuis plus de quatre ans, pourrait-on objecter. Très bien, demandons-nous pourquoi. Est-ce en raison des efforts héroïques et de l’efficacité incroyable du Département de la Sécurité Intérieure, du FBI, de la CIA ? Dans une certaine mesure, oui, encore que des groupes de citoyens bien comme il faut s’emploient régulièrement à compromettre le succès de leur action. Mais ces organismes, de par leur nature même, ne peuvent prendre que des mesures défensives, donc passives, or tout le monde sait qu’aucune guerre ne peut être gagnée uniquement par des mesures défensives et passives.

En vérité, nos ennemis n’ont pas besoin de commettre une nouvelle atrocité dans l’immédiat. L’immigration en masse des musulmans aux États-Unis continue. D’ici deux générations, ils seront assez nombreux pour pouvoir rejeter la Constitution et voter pour la Sharia. Le jour où nos autorités tenteront d’empêcher la réussite de leur entreprise, il y aura une autre attaque terroriste aux États-Unis, et nos dirigeants, comme leurs collègues d’Europe occidentale, procéderont docilement aux accommodements nécessaires.

Nos mésaventures en Afghanistan et en Irak ne contribuent nullement à empêcher que cela se produise. L’administration américaine s’est sans doute rendu compte depuis longtemps que notre présence militaire là-bas ne contribuait en rien à réduire la menace du terrorisme : c’est pourquoi elle a remplacé l’objectif initial inatteignable de notre invasion par la chimère de l’instauration de la démocratie au Moyen-Orient. C’est pourquoi Oussama ben Laden continue de dicter ses lettres au peuple américain.

Le seul résultat tangible de notre conquête absurdement bénévole est la détérioration continue et la destruction imminente de la seule démocratie qui soit possible dans cette région empoisonnée.

Le jour où les imams et les ayatollahs ont décidé que les rituels électoraux de l’Occident, bien que futiles et vains, n’étaient pas contraires à la charia, les musulmans en Afghanistan, en Irak et dans les territoires d’Israël occupés par les Arabes sont allés aux urnes. Les élections qui ont eu lieu en Afghanistan ont été aussi dénuées de sens qu’elles l’étaient habituellement en Union soviétique, où l’on obligeait les gens à voter pour le seul candidat d’une liste unique. En Irak, elles ont porté au pouvoir des gens qui nous étaient ouvertement hostiles et qui s’opposaient à nos objectifs, mais c’était inévitable puisqu’en Irak, tout le monde nous est hostile et s’oppose à nos objectifs. En Israël, les Arabes se sont fait une joie de saisir cette occasion de montrer, de façon éhontée, qu’ils n’étaient pas un « peuple » mais une organisation terroriste.

Et cependant, nous continuons à traiter ce moins que rien de Hamid Karzai comme un allié. Nous continuons à faire comme si la mort de nos soldats en Irak allait apporter quelque chose de bon à ce pays. Et nous retenons notre souffle en attendant de voir si le Hamas acceptera de reconnaître le droit d’Israël à exister. Pourquoi n’est-ce pas le Hamas qui se préoccupe de savoir si Israël acceptera son droit à exister ?

Ce ne sont pas les signes de notre défaite. Ce sont les signes de notre désintégration.

Il y a trente-six ans, l’Iran attaquait les États-Unis et prenait en otages soixante-six de nos concitoyens. Tout le monde a alors considéré que les États-Unis étaient impuissants à réagir à l’agression iranienne, car cela risquait d’entraîner l’exécution des otages. Malheureusement, les États-Unis ont accepté cette vision lâche.

C’était une vision lâche car, à cette époque, les Iraniens, même en théorie, ne pouvaient faire de mal à personne hormis les soixante-six otages qu’ils détenaient. Les États-Unis, en revanche, auraient pu facilement prendre en otage le pays tout entier, avec la promesse claire et crédible de lâcher la foudre du ciel au moindre mal causé aux captifs.

À la place de Jimmy Carter, n’importe quelle personne sensée aurait laissé vingt-quatre heures aux ayatollahs pour libérer les otages et nous livrer les cinq cents « étudiants révolutionnaires » qui avaient envahi l’ambassade et aurait procédé, s’ils ne s’exécutaient pas, à la destruction systématique et méthodique des lieux « saints » iraniens, des quartiers résidentiels de l’élite au pouvoir, des installations pétrolières et de tout ce qu’il aurait fallu brûler pour obtenir que le nouveau régime iranien demeure pour toujours la preuve la plus convaincante de l’inébranlable volonté de paix de l’islam. Quand bien même les « étudiants révolutionnaires » auraient été assez stupides pour faire du mal à leurs captifs, aucun musulman n’aurait plus jamais envisagé de prendre des Américains en otages ni de précipiter nos avions sur nos gratte-ciel.

Mais Jimmy Carter n’était pas du genre à saisir leurs enfants pour les écraser sur le rocher. Il a toujours préféré voir nos enfants se faire écraser sur le rocher, et c’est précisément ce qui lui a valu son prix Nobel de la paix. Aujourd’hui, vingt-six ans plus tard, un de ceux qui ont organisé l’attaque des États-Unis dirige le front iranien du djihad mondial, avec le titre officiel de président de la République islamique, et il est sur le point d’acquérir des armes atomiques. Qu’allons-nous faire ? Que pouvons-nous faire ?

Nous pouvons faire beaucoup. Nous sommes parfaitement capables de stopper le djihad pour toujours d’ici mercredi prochain. Mais au lieu de cela, nous ne ferons rien, car saisir les enfants de Babylone pour les écraser sur le rocher suppose un courage que nous n’avons plus.

Mes chers amis, nous ne sommes finalement pas si différents de ces paysans azéris. Simplement, ce que nous contemplons passivement et en silence, ce n’est pas l’accouplement des chiens mais le déroulement d’une nouvelle Shoah.


Zack Lieberberg est mathématicien et informaticien et habite New York.

© 2006 - Zack Lieberberg & Yashiko Sagamori - http://middleeastfacts.com/yashiko/
© 2009 - Marcoroz pour la traduction

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